Après une collaboration réussie avec Makaka qui a donné naissance à Kuala (anciennement Baïam), Blue Orange s’associe une nouvelle fois à l’éditeur des célèbres bandes dessinées dont vous êtes le héros et propose cette fois-ci Sherlock Holmes : Le jeu dont vous êtes les héros. Le succès sera-t-il toujours au rendez-vous ?

Moitié livre, moitié jeu

Comme son prédécesseur, le jeu est présenté dans un joli coffret compact qui s’ouvre comme un livre. Une boite qui renferme quatre petites bandes dessinées à l’effigie des quatre héros qui vont vous accompagner lors de vos quêtes, ainsi qu’un carnet de missions faisant également office de règle du jeu.

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Choisissez un personnage et saisissez-vous de la bande dessinée liée pour débuter l’aventure.

On s’en doute, vu le titre, les quatre missions proposées se dérouleront dans l’univers de Sherlock Holmes, qui vous a lui-même demandé de résoudre ces affaires. Jouable d’un à quatre joueurs, chaque bande dessinée propose une trame scénaristique identique et commune aux joueurs, mais certains détails sont exclusifs à l’un ou l’autre personnage. Une partie du décor invisible pour certains, un objet inatteignable pour d’autres, chaque personnage pourra influer de façon unique sur le scénario et effectuer des actions spécifiques en fonction de ses capacités.

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Une carte vous permet de vous repérer dans les rues de Londres.

À chacun son talent

Ainsi, Ike est doté d’une force hors du commun, alors que la souplesse de Vicky lui permet d’atteindre des endroits inaccessibles pour tout un chacun. Myrtle, quant à elle, peut se déguiser et déverrouiller certaines serrures. Enfin, Wiggins dispose de dons d’observateur. Vous l’aurez compris, il va donc falloir coopérer pour élucider les mystères qui vous attendent.

Et qui dit coopération dit communication. Car Sherlock Holmes est un jeu dans lequel vous allez beaucoup parler et négocier avec vos compères. Pour vous mettre d’accord sur le chemin à suivre, l’action à effectuer, la bonne personne à utiliser ou les risques à prendre. Car l’intrigue en comporte un certain nombre et certains choix vous mèneront tout droit à votre perte.

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Vous avez repéré la différence ? Seul Vicky peut atteindre la fenêtre.

L’avantage du jeu, c’est principalement sa rejouabilité. Si seules quatre enquêtes vous sont proposées, chacune d’entre elles peut être relancée encore et encore. Les énigmes offrent en effet souvent plusieurs solutions, de nombreux secrets attendent que vous les dénichiez et, selon le personnage que vous choisissez d’incarner, vous pouvez redécouvrir l’histoire selon un autre point de vue et accéder à des endroits inédits.

Si vous souhaitez y jouer avec vos enfants, le jeu convient parfaitement à partir de sept ou huit ans, dès que l’enfant est capable de lire et est un peu observateur.

Si vous aimez les bandes dessinées et l’univers de Sherlock Holmes, le jeu du même nom de Blue Orange vous met dans la peau d’un véritable enquêteur aux aptitudes uniques. Et puisque – c’est bien connu – plus on est de fous plus on rit, le titre prend toute sa saveur à plusieurs. La clé de la résolution de ces mystères ? La communication, bien sûr.

Le jeu est disponible pour moins de 40 euros sur Philibert, Amazon ou dans les boutiques spécialisées.

Produit fourni par Blue Orange pour les besoins de cet article.